Louis et le chaton d'or - Version courte

Je m'apelle Louis, j'ai 10 ans. J'habite chez ma mère.
Mon père est mort quand j'avais 5 ans. Je suis maintenant
amoureux des chats. Je dirige, enfin, ma mère dirige un
refuge spécialisé dans les chats. Nous venons de recceuillir
un chaton. Il est noir, très noir. Ou plutôt très sale. On ne sait
pas qu'elle est sa véritable couleur. Ma mère m'as chargée
de le nettoyer. Je le prends, l'emmène dans la salle de bain.
Le nettoie, il est couleur caramel. Très mignon. Il fait beaucoup
de bétises, le vétérinaire dit qu'il à trois mois. Il est si mignon !


_ Louis ? Où est passé Liou ? Apelle sa mère.

Liou est le nom que nous lui avons donné. Elle a maintenant 4 mois.
Toujours aussi chipie. Elle fait tomber un livre de l'étagère, le ramasse.
Le titre est "Légende du vieux chat d'or" .

_ Waa ! Un vrai lire de légende ! m'exclamai-je.

Il devait valoir une centaine d'euro. J'étais heureux.
J'ouvris le livre et voici ce que j'y lit :

_ Il y a plusieurs siècles de cela, un jeune chat et son maître vivaient
à Dourgedon.. Oh ! C'est ma ville ! Continuons ... Le jeune maître sculpta
jour et nuit une statuette de son chat en or pur. Elle se cache aujourd'hui
dans la mine de Dourgedon.

Je continuais à lire sur une dizaine de page et m'arretais. C'était fantastique !
Je fermais le livre, toussait car de la poussière venait de s'envoler du livre, le posait
sur mon bureau et courrait vers la grange.


Après avoir averti ma mère que je m'absentait une ou deux heures, je me munis
d'une pelle dans la grange et d'une lampe torche. Je couru jusqu'à la mine qui n'était qu'à
quelques mètres de là. J'allumais ma lampe torche et fit un pas quand j'entendis un miaulement.
Je regardais autour de moi puis vit passer mon chat qui courrait à l'intérieur de la mine, je le poursuivit
au plus profond de la mine. Nous arrivâmes à hauteur d'un bute avec de l'anglais gravé dessus.
Graçe à ma connaissance de l'anglais, je sut lire "Pierre tombée le jour, Trésor retrouvé toujours".
Il faisait jour dehors, j'en déduisi qu'il fallait faire tomber une pierre. Mais laquelle ?
Mon chat se frotta à moi, ronronnant, se dirigea vers une dalle et s'appuya dessus. C'est alors
qu'un baton se souleva, faisant tomber une pierre qui fit tomber un rocher.
Ce rocher laissa apparaître une statuette de chat en or pur et dur. Je pris mon chat dans les bras,
saisi le téléphone de ma mère que j'avais embarqué et téléphonais à la maison.

_ Nous ne vénèrerons jamais assez les chats ! Ce fut ma dernière phrase, depuis, nous vivons en paix, riche, loin de tout, avec une dizaine de chats.